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c'est le rôle des parents dans ce développement ?

Il est bien sûr primordial. Le « statut comportemental » des parents influence celui des chiots. Leur équilibre caractériel doit donc être vérifié par les futurs acquéreurs d’un chiot car ce sont les parents qui transmettent leur patrimoine génétique. La mère sera par ailleurs le premier éducateur du chiot.

Les garanties se prennent par une sélection appropriée des adultes et des conditions de vie optimales.

Il faudra se méfier des mères peu attentives, brutales ou peureuses qui risquent d’influencer négativement leur progéniture.

 

Quels sont les moyens possibles pour favoriser un bon développement comportemental ?

Pour faire vivre au chiot un maximum d’expériences, l’éleveur a à sa disposition un ensemble de possibilités.

En premier lieu, il s’agit d’initier précocement le contact humain avec le chiot. Il sera bon également de lui présenter toutes sortes d’individus (enfants, personnes âgées…) pour qu’il se familiarise avec la diversité humaine. La socialisation interspécifique passe également par la présentation de différentes espèces animales que le chiot est susceptible de côtoyer plus tard : chat, lapin…

Plus tôt il aura fait connaissance, dans un cadre positif, avec ces espèces, plus facile sera la cohabitation ultérieure.

Pour favoriser le développement des compétences sensorielles du chiot, l’enrichissement de l’environnement dans lequel il évolue est indispensable. Pour cela, les éleveurs ont souvent recours à l’utilisation d’une pièce d’éveil, un endroit spacieux et riche en jouets et divers objets dans lequel les chiots peuvent évoluer librement et laisser libre cours à leur comportement exploratoire.

Si la pièce peut ouvrir sur un jardin clos, c’est l’idéal.

Le développement comportemental du chiot

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